Antohomadininka, proche du centre d'Antananarivo, est un quartier « vulnérable» : un terme utilisé par les institutions pour désigner les plus démunis, et qui par ricochet se retrouve dans le vocabulaire des habitants eux-mêmes. Mais avant la misère et l'insalubrité, je cherche à représenter la vie qui foisonne, la multitude d'activités que l'on trouve au sein de ce quartier, la force d'une population qui ne baisse pas les bras. Un travail en cours, couplé avec des ateliers de photo afin de permettre aux habitants eux-même de représenter leur quartier...